27/7/2024
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Ici intervient le commerce électronique. L'investissement initial n'est pas plus important que pour le commerce classique. La conception d'un site est fille de la conception d'une plaquette où d'un catalogue (cahier des charges, choix de l'iconographie, travail du graphiste, du rédacteur et du secrétaire de rédaction ou sous-traitance). L'économie se situe tout d'abord à l'impression (voir le coût de la quadri) qui disparaît (ou est à la charge du client mais celui-ci n'imprime que ce qui l'intéresse sur son imprimante de bureau). La distribution est immédiate et ne dépend pas du nombre dexemplaires. Les mises-à-jour mineures (changement d'un ou plusieurs tarifs, des illustrations, de la personne à contacter) ont un coût quasi nul. De plus, la disponibilité de l'information est permanente (pas d'épuisement de la documentation ou de surévaluation des besoins). Le multimédia permet de montrer le produit en action, sa fabrication (procédures qualité) et ses performances. Le courrier électronique doit permettre un contact rapide, précis et efficace entre le client et les commerciaux. Pour cela, comme pour le marketing ou la communication classique, il existe des règles et des usages. Le site doit pouvoir être trouvé (importance du référencement et du ciblage des mailings), l'information doit être fiable accessible facilement une fois sur le site (sommaire ou arborescence). En conclusion : le commerce électronique, c'est facile, pas cher et ça peut rapporter gros ? En fait la philosophie est la même que pour le commerce classique : informer, montrer qu'on est le meilleur et vendre. Mais le rayon d'action est mondial (ce qui inclue le local), les délais réduits, les coûts moindres et l'image innovante de l'entreprise est renforcée. Si le grandes entreprises sont déjà là, les P.M.E ont leur place. A elles de la prendre.
L'auteur :Florent Le Courtois, Communication d'entreprise
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